The Whole World Is A Killing Field part. 1

Mercredi après midi.....Jour d'un évènement très spécial. Un repas avait été organisée pour que la future ex Tsarine de Russie et la présidente américaine parlent ensemble de l'avenir de la Russie. Je rentrais dans leur chambres d'hôtels avec un homme et une femme, deux de mes hommes, qui allaient faire les deux gardes du corps pour la Tsarine et Mikhaila.

<< Bonjour mes chères. >>

Je m'approchais de Mikhaila pour lui faire la bise et fis le baise-main à la Tsarine par respect au vu de son statut qui était encore à l'heure actuelle toujours d'actualité.

<< Madame... >>

Il était vrai que je n'avais que de yeux pour la Tsarine qui était une très belle femme. J'avais entendu qu'elle avait aussi une vue sur moi. Et pourtant aucun de nous deux n'avaient osés faire le premier pas qui changerait tout. Reprenant un air professionnel, je me reculais après leur avoir tendue les oreillettes.

<< Voici vos oreillettes. Pour les blessures, à part vos vêtements qui seront troués par les simili balles réelles, les blessures qui paraîtront tout à fait réelles et une douleur bien réelle et le faux sang, vous n'avez rien à craindre car vous êtes protégées par le meilleur de notre technologie. Deux équipes de journalistes sont là pour relater l'information, une russe et une américaine. Ces deux personnes, que vous pourrez appeler Mikhaïl et Natalya et qui sont deux de mes hommes, sont là vont vous amenez dans un coin tranquille dès le premier coup de feu. Je les éliminerais et vous vous enfuirez dans une impasse. Là bas je vous éliminerais tandis que notre chère journaliste américaine survivante filmera tout avant que je l'élimine aussi. A mon signal, vous sortirez. N'ayez pas peur, sortez tranquillement, la première balle vous touchera l'épaule après Dimitri avisera... Dimitri Harkov sera votre assassin.>>

Je sortis dehors et me posta dans la chambre pour veiller au bon déroulement de l'opération.

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Je ne suis pas une femme très bavarde. Je regardais les hommes s'activer autour de moi en gardant le menton bien haut pour ne pas laisser mon engouasse prendre le dessus. À ma gauche se tenait ma fidèle Mikhaila, toujours calme et sûre d'elle. Quelquefois je l'envie. Je suis la Tsarine, je devais être faite de glace, mais je n'y arrive pas. Peut-être que mon corps est droit et fière, mais dans ma tête tout est sens dessus dessous. J'aimerais tellement changer de placer avec elle et me nourrir de son calme. Comment faisait-elle? C'était une chose de savoir se défendre, mais tout de même! N'avait-elle pas peur que tout devienne beaucoup plus compliquer et que nous soyons réellement blessés? Ne doute-t-elle pas quelques fois? Lorsque son regard croisa le mien, elle m'offrit un petit sourire qui se voulait chaleureux. Elle me connaissait mieux que n'importe qui. Elle savait certainement quel genre de tempête avait pris naissance dans ma tête. Elle me fit un petit clin d’œil. C'est ça manière à elle de me dire que tout irait bien. Oui, allons-y avec cette pensée. Tout va bien aller. Puis, le regard de ma garde devenue beaucoup plus sombre, elle venait de reprendre sa place. Je tournais donc la tête pour voir ce qu'il se passait de l'autre côté de la pièce. Alex venait de faire son entrée. Mon cœur fit un bond! Tout en me battant contre la furieuse envie de me mordiller la lèvre, je repris mon rôle de bloc de glace. Il salua ma tendre amie et protectrice avant de me faire le baiser main. Comme Mikha devait le détester pour ce geste trop familier. Pourquoi s'entêtait-il à la saluer de cette manière?

«Monsieur Wolf. » Je le saluais en lui offrant un gracieux mouvement de tête lorsqu'il lâcha ma main avant de ce mettre à expliquer tout ce qui allait se produire. Comme je n'aimais pas cette idée! Tout allait être faux, mais si un civil armé décidait de me secourir? Il détruirait tout et de réels blessés feront la une des journaux? Je ne lâchais pas l'homme des yeux en me disant que Mikhaila serait là, tout allait bien aller. Lorsqu'il se mit à parler de son homme et de sa femme, je les regardais à tour de rôle. La femme était beaucoup plus large d'épaules que ma tendre amie, mais était-elle vraiment puissante? Je n'ai pas confiance aux femmes armées. Je préfère les hommes. Pourquoi est-ce qu'Alex ne nous accompagnait pas? « Alors, ne perdons plus de temps.» Sans ajouter un mot de plus, je solidifie mon armure de glace pour me rendre à l'endroit où tout allait se jouer. À côté de moi, cette Natalya avait l'aire toute petite. Lorsque je porte cette armure, mon regard devient si froid que je pourrais effrayer n'importe quel homme présent dans cette pièce si je décidais de les pénétrer avec mon regard. Comme prévu, je quittais la chambre pour me prendre dans le lobby où la mort m'attendait. Je me mis à sourire suite à cette folle idée. À chaque pas je reprenais de plus en plus d'assurance si bien que lors du premier coup, je pouvais me répéter les mots d'Alex sans faire d'erreur en me dirigeant exactement à l'endroit où je devais aller, Mikhaila toujours sur mes talons.

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Je laissais l'homme me faire la bise sans rien trouver de sympathique dans ce geste du quotidien. Je regardais l'homme sans laisser la moindre émotion parcourir mon regard de glace. S'il voulait continuer de se la jouer '' soyons ami '' il pouvait bien continuer, moi j'allais continuer à le détesté. En fait, je n'ai pas beaucoup de personnes et je me méfie des hommes qui s'approchent de trop près de ma maîtresse surtout lorsqu'ils la regardent comme ce Wolf le fait. Comment fait-elle pour ne pas voir qu'elle l'intéresse? Comment est-ce que je sais qu'elle ne le voit pas? Elle me parle de tout! Nous avons grandi ensemble, j'ai été adoptée dans le seul but de la protéger. Je laissais l'homme parler tout en regardant son escorte, des gens bien costaux et sans finesse. Un petit sourire malin prit naissance sur mon visage. Pourquoi se sentaient-ils toujours obliger de lever tant de fonte pour avoir l'air imposant? L'attitude y était pour quelque chose, chose qui ne manquait pas à la petite Natalya qui fera une merveilleuse gardienne de prison lorsqu'elle aura compris que sa place n'était pas ici. Ça crevait les yeux. L'homme me témoignait beaucoup plus de respect, son corps portait les marques d'un lourd passé et je ne parlais pas de ses cicatrices ou autres déformations du même genre. Il portait beaucoup trop de tissus pour que je puisse voir quoi que ce soit. Sa posture et les traits de son visage sont plutôt faciles à lire.

Lorsqu'il prononçait le nom de Dimitri, les muscles de mon corps se serraient sous ma peau. Depuis quand cet homme jouait les faux assassins? Je n'aime pas cette idée! Je regardais black en le fusillant du regard. J'aime de moins en moins ce type. Je restais silencieuse et lorsque ce fut le temps de bouger, je suivis ma maîtresse dans rien ajoutée de plus. J'allais suivre le plan tant et aussi longtemps que la vie de la Tsarine ne sera pas réellement en danger. Cette idée était folle et je ne voulais pas risquer de faillir à ma tâche. Black Wolf n'est pas mon patron.

«N'oublie pas ce que je t'ai dit Irinushka.» Je lui avais murmuré cette phrase pour lui rappeler que si tout dérape, de mettre à exécution notre plan à nous. Ce plant consistait à me suivre et d'oublier cette arnaque sur notre disparition. Peu importe ce qu'il y avait en jeu, je devais protéger la jeune femme pour laquelle j'ai réussi à vivre sans manquer de rien depuis tant d'années. Le résultat restera le même, mais monsieur Black Wolf risque de ne pas aimer ma petite improvisation. Nushka me regardait une nouvelle fois avec son regard de princesse des glaces. Nous étions maintenant dans le Lobby de l'hôtel. Comme à chaque fois que nous marchions, je me retrouvais légèrement en avant d'elle sans avoir coté son côté droit. Dit comme ça, la position semble étrange, mais ce n'était pas le cas en visuelle. Installer de cette manière je pouvais bloquer toute attaque de fond sans problème et d'un mouvement rapide je pouvais protéger ses arrières.

Après que mon boss soit sorti de la chambre et les filles aussi, je rentrais dans l'hôtel. J'avais sur moi un long imperméable qui cachait surtout la tenue de combat noire que je portais en dessous. Je saluais la Tsarine puis Mikhaila et m'approcha d'elle. Pour lui tendre une arme.

« Tiens une arme pour te défendre contre nous. Elle est chargée des mêmes balles que nous utilisons pour vous " assassiner ". Beretta M9, cartouches de 9 millimètres, 15 cartouches par chargeur. Comme ca tu pourras te défendre aussi. Attendez mon signal. »

Puis je ressortis de l'hôtel pour aller en face et monter deux étages pour m'y placer. Pendant ce temps, le temps ou j'étais seul avec moi-même à réfléchir a tout ca je me posais une question ? A quoi servirait tout ce massacre ? A part les protéger ? A rien.....Et ce serait déjà un miracle s'ils y croient. Mais il le fallait.....Et mes hommes allaient allumer la flamme dans le cœur des loyalistes russes. Pourquoi aider la Tsarine ? Mon sang.....mon héritage laissé par des générations de héros russes et américains. Et l'amour de mes deux patries. Parce que voir les Russes, les Coréens et l'OpFor menacer mon Amérique, et mettre à sang ma Russie me foutent hors de moi. Et il y a de quoi.... Comme le dit mon père : " Il n'y a pas de victoires sans sacrifices ". Dommage que pour gagner des civiles doivent mourir, devenir d'autres personnes.... Pourtant cela fut leur choix, un choix difficile.

Je chargeais le Dragunov et monta le silencieux sur le canon puis arma mes deux Glock, enfonca le chargeur dans mon Mk.23 et chargea le Model 629. Mes armes étaient prêtes. Il fallait élever la Russie contre nos ennemis. Je donnais le signal....

- Dimitri à Irinushka, vous pouvez sortir....

Je pris ma visée, fusil à l'épaule. J'attendis que la Tsarine se montre un peu plus avant d'appuyer sur la détente. La balle lui atteignit l'épaule, projetant du sang sur Mikhaila. Puis je visais Mikhaila et lui tira dessus, elle fout touchée à l'épaule elle aussi. Mes hommes vinrent à leur secours. Je posais le fusil puis descendit a toute blinde les escaliers tout en mettant la cagoule noire et courut vers l'endroit dans lequel elles avaient été cachées. Dans des toilettes publiques...

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Un nouveau venu. Je dévisageais le blondinet comme s'il ne s'agissait de rien. Il me salua avec respect et je lui offris un petit mouvement de tête pour le saluer à mon tour sans prendre la peine de commencer une conversation avec lui. Ce n'était pas le temps de lui demander comment la famille allait. Je suis très nerveuse, j'ai l'impression que je pourrais faire éclater ma carapace de glace si j'ouvrais trop la bouche. L'homme offrit une arme à ma garde avant de s'éloigner de nouveau pour pendre place. Je regardais ce que je portais en me disant qu'une blouse en satin beige méritait une meilleure fin de vie! La voix de Dimitri dans mes oreilles me fit prendre la direction de la sortie. Comme toujours, je ne regardais pas les gens qui m'entouraient, beaucoup trop occuper à penser à autre chose et à essayer de ne pas me mettre à paniquer. Durant une fraction de seconde, j'ai hésité à sortir, c'est le corps de Natalya qui frappait le mien par accident qui me rappelait mon rôle. J'inspirais tout en cherchant du regard celui de Mikhaila. Bien évidement, elle c'était mise en mode garde du corps. Lorsqu'elle est dans cet état, c'est inutile de lui demander quoi que ce soit en lien avec les émotions humaines!

Le premier coup touchait mon épaule et une affreuse douleur parcourut le haut de mon corps. Je perdis pied et Mikhaila dut me rattraper avant de se faire toucher elle aussi. Elle n'était pas ravie et c'était normal vu la situation. Jouer les cibles concertantes n'avait jamais été son truc. Je continuais à bouger sans prendre le temps de réfléchir et en me foulant la cheville en marchant avec mes affreuses sandales à talon haut! L'idée de porter de tels souliers lors d'une fusillade déjà prévue. À mon son de douleur, Mikhaila me prit plus solidement contre son bras pour que nous puissions nous rendre à temps dans les toilettes publiques les plus proches.

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Lorsque je le vois, je ne peux faire autrement que de serrer la mâchoire. Je prends l'arme qu'il m'offre sans rien dire de plus. Les mots, ce n'est pas à moi de les prononcer. Je regardais l'homme sans vraiment le voir tout en me demandant ce que je pouvais faire de cette arme. Si je sortais avec l'arme à la main, tout semblerait beaucoup trop étrange. Je décidais donc de la coincer sous ma ceinture au niveau de mes reins. Un vrai gangster! Je soupirais tout en regardant l'homme s'éloigner. C'était un vrai con, mais il avait de belles fesses. Fallait que je lui donne au moins ce point. Sans attendre plus longtemps, je guidais à contrecœur la Tsarine à l'extérieur là où la mort nous attendait. N'est-ce pas génial? Au premier coup de feu, je me mis en position de défense pour protéger le corps de la jeune femme. Elle était si délicate. Durant un temps j'avais cru apercevoir de la panique dans ses yeux. C'était bien de jouer le jeu, mais cette panique n'était pas là que pour faire bonne impression. Et il y avait le tissu de son haut qui avait volé en éclat. Du sang couvrait sa poitrine. Pour bien la soutenir, je dégainais mon arme d'une main tout en passant mon bras libre autour d'elle lorsque je sentis à balle toucher mon épaule. Il allait me le payer!

Je ne suis pas joueuse. Lorsque les balles touchèrent nos corps, je me mis à grogner tout en me mettant devant ma protégée pour lui éviter les coups. Le coup à l'épaule avait brisé la bretelle de mon haut sans manche. J'avais deux choix, commencer à me mettre à pleurnicher comme une femme ou faire mon travail sans m'occuper du morceau de tissus qui menaçait de m'abandonner à tout moment. Je soupirais tout en entraînant la jeune femme avec moi jusqu'à l'endroit où nous devions aller. Jamais Irinushka n'avait tenu ma main aussi fort! J'en avais presque mal. Heureusement, il m'en faut beaucoup plus pour m'entendre me plaindre. Mon bras passer autour du corps de ma protéger tenait ma fausse arme. Pourquoi m'avoir donné cette arme c'est complètement inutile. Plus tard, je m'en servirai pour mettre une balle entre les deux yeux de ce Dimitri tiens! Je pourrais satisfaire deux de mes envies. La première était de savoir si c'était bien une fausse arme et la seconde était de lui mettre une balle dans la tête. Que voulez-vous... lorsque je n'aime pas une personne, je n'ai pas beaucoup de contrôle sur mes pensées sadique.

Arriver devant l'homme cagoulé, je lui mis une balle dans la cuisse en regrettant de ne pas avoir une vraie arme dans la main. « Si tu la blesse d'avantage je te massacre ! » Et je lui montrait du regard la cheville de ma maîtresse qui avait déjà prit une affreuse couleur bleuté.

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«Bordel! Vous avez vu? Il vient de tirer sur la Tsarine!! » L'homme regardait la scène avec effroi. Un bref coup d’œil à mon caméra man me suffit pour prendre mon rôle dans cette histoire. Couvrir l’événement coûte que coûte! «Tourne! » Et puis je me mis à commenter la scène sans oublier de demander à mon collège de prendre des images rapprocher de la Tsarine et de son escorte. Pauvre femme, si cruellement attaquer à la sortie de son hôtel . Je poussais l'homme qui m'accompagnait à aller plus près, mais les gardes nous empêchaient de nous approcher.

La scène qui se déroule devant mes yeux est des plus folle! Je n'arrive pas à tout voir et garder la Tsarine sous l'objectif de mon camera man est de plus en plus difficile. Ce n'est pas du sang qui ouvre sa poitrine? Je suis horrifié même si je sais que tout ça, ce n'est qu'une arnaque! Comment est-ce que je pourrais suivre le tout sans m'écrouler sous la panique. Doucement, je me mordille la lèvre en me disant que tout ça est des plus existant! Si seulement c'était vrai...« Merde! Je l'ai perdue! Suis-moi! » Rapidement, je me mis à courir dans la direction ou j'avais vu les femmes partir. Les gens hurlaient et j'avais de la difficulté à bouger entre eux... où étaient-elles?

Après une discussion houleuse entre Mikhaila et moi, je laissais les deux filles partir et sortir des toilettes non sans blesser Mikhaila à la cuisse. Je ressortis des toilettes pour tomber nez à nez avec le caméraman américain et je lui mis une balle en pleine tête puis deux en pleine poitrine, droit dans le coeur. Il paraissait mort, mais ce n'était que bien joué. Et cela paraissait si vrai, si réel. Je ne savais plus quoi en penser. Je pris mon casque de combat et alluma la caméra montée dessus. J'activais mon cross-com, un outil comme un monocle sur mon oeil gauche utilisé par les élites des forces spéciales russes. Et je voyais ce que la caméra filmait. Puis je retombais nez à nez cette fois sur la journaliste, la soeur de ma femme. Je la pris par le col de sa chemise ouverte et la colla contre un mur puis pris le vrai couteau pour découper son débardeur de couleur blanc. Je rangeais le couteau, puis retira chemise et débardeur pour la laisser qu'en lingerie. Je pris un des couteaux made in Werewolf spécial faux meurtres et je le plantais dans son nombril.

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Mon caméra man venait de se faire démolir par l'homme que j'appelais '' beau-frère'' lorsque nous étions à table lors des soupers de famille. Je ne pu m'empêcher de hurler en voyant tout ce sang. C'était plus fort que moi. Mes membres se mirent à trembler et durant l'espace d'une seconde ou deux, mon cerveau avait oublier que tout ça n'étais qu'un spectacle pour épater la galerie. Lorsque le regard de Dimitri croisa le mien, je n'eus pas besoin de mes talents d'actrice pour avoir réellement peur. Il se mit à me violenté en arrachant mes vêtements, le dos plaquer contre le mur, je le regardais en laissant couler des larmes d'effrois sur mes joues. Je suis effrayée ! Et une bonne séance de thérapie allait certainement être utile pour que je puisse m'enlever cette image folle de la tête. Mes lèvres tremblaient. J'ouvris la bouche pour me mettre à parler lorsque je le vis sortir ce couteau. C'était un faux . À quelque part je le savais, mais en ce moment plus rien n'était logique dans ma tête. «Non arrêt !!! » Je n'avais pas réussit à retenir les mots. Je venais de recevoir le coups de couteau dans le ventre. Même si la lame c'était rétracté, la douleur du choc était bien réelle. Je regardais l'homme tout en sentant mes jambes faiblir sous mon corps. Si ce n'était pas grâce au mur et à la pression que Dimitri mettait sur mon corps, je serai certainement coucher en boule au sol en train de pleurer ma vie.

Je retirais le couteau de son nombril puis lui planta à quatre nouvelles reprises dans son ventre et au quatrième coup je laissais la lame dans son ventre. Le faux sang ( des poches et des poches de sang animal récupéré un peu partout ) coulait de son ventre tandis que je la maintenais contre le mur. De ma caméra, je fis visualiser con corps puis je la lâchais pour qu'elle se mette à genoux devant moi. Je prenais mon Glock 17 muni d'un silencieux, l'arma devant ma caméra puis pointa l'arme sur son sein gauche. Je la regardais longuement, presque avec tendresse. Elle était de ma famille bordel ! Et dire que je devais lui faire autant de mal pour si peu. Monde de merde ! Promis je ferais péter tous les Ultras de la Terre juste pour Lysanne et Adélaïse, les deux femmes de ma vie. Allais-je lui faire endurer un supplice ou la tuer de suite ? En tant qu'ennemi et assassin, je penchais pour la première solution. Je tirais dans son sein gauche une fois. Et je la laissais se coucher à même le sol. Puis du pied, je la mis sur le dos pour lui coller deux balles dans le ventre.

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«D...» Je me mordillais la lèvre. Je ne pouvais pas dire son prénom à voix haute. Je le regardais en cherchant à retrouver mon calme pour me rassurer. Tout n'était qu'une scène. Puis il se mit à me massacre le ventre à coups de couteau. Chaque coups avaient son gémissement de douleur, je commençais à avoir mal à la tête. La vue du sang sur ma peau me donnait le nausée. Et si tout était vraie ? On dit que le corps réussit à produire assez d'endorphine pour endormir la douleur lorsque l'adrénaline était si haute. Non... Dimitri ne me ferai jamais de mal, jamais de cette manière. Je m'effondrais au sol en m'accrochant à cette ultime vérité comme s'il s'agissait de mon seul espoir. Je me sentais comme une bête prise au piège devant un chasseur venu pour m'écorcher vive ! Je me retrouvais à genoux, jusqu'à ce que je touche le sol, je ne m'étais pas rendu compte que je retenais mon souffle. La vue de l'arme me fit claquer des dents et le son de la détonation m'arrachait un gros d'horreur. Cette fois il n'y avait personne pour me retenir. Je pensais que tout était terminé lorsque d'un pied fit tourner mon corps. Je me retrouvais sur le dos, une de mes mains tenait mon sein douloureux. Je suppliais du regard Dimitri d'arrêter cette image d'honneur ! Je ne pouvais plus jouer encore très longtemps. Je ne pouvais pas ... Je ne suis pas une agente spécial, je ne suis pas aussi solide que Lysanne ! Je continuais à pleurer silencieusement sans le quitter des yeux. Puis deux nouvelles détonations se fit entendre. Je sursautais de surprise et de douleur à chacune d'elle. Et si la mort venait me chercher maintenant ? Je pourrais oublier toute cette histoire. Est-ce que j'arriverais à regarder l'époux de ma soeur dans les yeux après cette échange ? J'espérais que oui . Je ne voulais pas être brisée.

C'était comme si je devais exécuter un innocent. Ma main refusait de répondre tandis que je pointais l'arme sur Adélaïse. Je dus fournir un énorme effort pour mettre le doight sur la gâchette et un autre pour appuyer sur la détente. Je lui collais froidement quatre nouvelles balles dans le ventre. Le sang continua de couler. Ses balles faisaient l'effet de la mort sans la mort. Et c'était plutôt impressionnant. Pour achever Adélaïse et mettre fin à ses pleurs, je lui tirais dans le sein droit à deux reprises, trouant sa lingerie. Je lui mis une troisième balle dans le téton. Normalement, poumon perforé. Puis je lui mis une balle dans le sein gauche et je fis écarter ses cuisses pour lui tirer dans son intimité deux fois. Son corps tressauta à chaque fois et elle mourut. Pour vérifier qu'elle était morte, je pris un couteau comme celui qu'elle avait encore dans le ventre et m'agenouilla à coté d'elle. Je la poignardais d'abord dans le sein droit, puis dans le sein gauche. Et j'y laissais la lame. Je caressais ses lèvres, lui fit un baiser sur le coin de ses lèvres puis sur le front et je partis. J'avais beau être un terroriste assassin, un peu de respect pour les victimes n'était pas une option. Surtout une civile qui n'avait rien à voir.

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Je le regardais, je ne pouvais détacher mon regard du sien, je devais réussir à me convaincre que sous cette cagoule se cachait cet homme souriant et aimant qui partageait la vie de ma grande soeur. Tout ça n'est que du cinéma, du sang de porc qui m'éclate dessus à chaque coups qu'il me porte. La détonation est réelle et elle crée une certaine douleur, mais je ne meurs pas, pas pour vrai. Mon sein explosait sous la nouvelle série de détonation ce qui m'arrachait plusieurs cris et gémissement de douleur. Seigneur, combien pensait-il devoir m'en donner pour que j'ai l'air vraiment morte ? Je continuais à pleuré et sursautant lorsqu'il mit plusieurs ''balle'' dans mon entre jambe. Je me tordais de douleur, je voyais ma mort arriver à grand pas. Je ne voulais plus souffrir, pourquoi n'arrêtait-il pas ? Lorsqu'il rangea son arme, je crus que tout était terminé, mais voilà qu'il sortait son arme blanche. Mon corps se raidit automatiquement en la voyant et de nouveau coups fut porté à ma poitrine.

Lorsqu'il posa ses lèvres sur le coin des miennes, je sus que plus jamais je ne pourrais le regarder comme je le regardais autre fois. Une partie de nos liens c'était brisé ce soir. Savoir et voir c'est deux choses complètement différente. Comme la gentille fille docile que je lui. Je me laissais mourir en attendant la suite de l'histoire....

Petit Padawan Nombre de messages : 30 Date d'inscription : 19/12/2012

The Whole World Is A Killing Field part. 1 Sans_t11

J'étais l'une des trois assassins embauchées directement par la Tsarine pour leur " assassinat ". Ma mission était simple, blesser Mikhaila et agresser la Tsarine tout en aidant Black Wolf et ses hommes pour leur petites manigances qui s'avérait bien intelligente. Je me dirigeais vers le lieu en question. Mon prénom ? Tasha. J'étais vétue d'un chemisier noir ouvert sur ma poitrine et mon soutien-gorge avec des chaussures à talon et un pantalon en cuir moulant. Je vis Mikhaila et sortit mon arme, P226 avec silencieux, pour tirer sur la garde du corps tout en me dirigeant vers un abri pour m'y cacher. Ce fut une poubelle. Et j'échangeais des coups de feu avec Mikhaila. Elle sortait pour tirer puis se planquait, et je sortais pour tirer. Et ainsi de suite...chargeurs après chargeurs le combat devenait long....

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Si j'avais la rage avant le début de ce jeu stupide, je ne vous laisse imaginer comment je me sens après cette preuve rencontre avec Dimitri. Ce salop avait massacré ma cuisse !Je l'attends ! Dès que cette folle histoire est terminer, je vais aller lui mettre quelques coups bien placer sur la mâchoire ! Comme je déteste cette journée, comme je déteste cette idée ! Comme je détesté tout simplement ce que je suis en train de faire.

Une femme fini par apparaître dans mon champs de vision. Je soupirai tout en laissant mon corps répondre à l'entraînement qu'il avait subis ses 20 dernières années. Je protégeais ma maitresse tout en commençant à tire sur l'ennemie/amie .... C'était n'importe quoi! Mais je jouais, je ne pouvais pas faire autrement. Les coups de feu commençaient à se faire nombreux et à ce rythme je n'aurai pas assez de balle pour finir le reste de la croisade.

Je suis de plus en plus agacer par cet échange et c'est probablement pour cette raison que je fais mon erreur. Je me redresse trop tôt et je reçois une décharge dans l'épaule. Celle qui est déjà toucher ! La chance ! Je laisse s'échapper un long grognement et je lâche mon arme par accident. Stupide idée. Tasha s'approche de moi, je lui offre un beau sourire avant de frapper une roche avec mon pied, elle reçoit l'immense caillou sur le font et moi je me retrouve avec un balle sous le foie. Sous le choc, mais toujours bien éveiller, je reprends mon arme modifier pour aller à la rencontré de l'assassin qui se battait avec le sang qui lui coulait dans les yeux. Bon, c'était interdit de blesser pour vrai, mais bon... Un peu de réalisme ça ne fait de mal à parler. Après quelque coups échanger, je réussis à lui mettre une balle entre les yeux. Il était temps pour elle de mourir. Une fois le corps au sol, je lui en mis une seconde avant de prendre ma maîtresse par la mains pour passer à l'étape suivante ...

Petit Padawan Nombre de messages : 30 Date d'inscription : 19/12/2012

The Whole World Is A Killing Field part. 1 Ava_el10

Alors que j'arrivais sur les lieux de l'assassinat programmé, je vis que Tasha était morte de deux balles dans la tête. Heureusement qu'elles n'étaient pas réelles sinon je n'aurais pas donnée cher de sa peau. Moi, Asya, un autre assassin embauchée par la Tsarine, était chargée de tuer cette dernière et Mikhaila, sa garde du corps. Mikhaila avait déjà pris la TSarine, ma patronne, par la main et commença à partir...

Je dégainais mon arme et collais deux balles dans le dos de Mikhaila. Une dans son omoplate et la seconde dans le bas de son dos. Quand Mikhaila se retourna, je lui mis d'abord une balle dans son ventre et la seconde juste sous son sein droit. Et elle me tira dessus, me touchant d'abord au ventre puis dans le coeur. Je m'écroulais au sol, en jouant la morte. Mais j'avais réussie à blesser Mikhaila.

Invité

Est-ce qu'il y a quelque chose de plus traitre que de ce faire tiré dans le dos ? Je ne suis pas certaine non ? J'avais manquer de jugement, ou tout simplement de mémoire. Je ne me souvenais plus de l'attaque de cette femme. N'était-elle pas supposer arriver plus tard et à un autre endroit ? Encore un changement de plan de dernière minute ? Je me retournais en grognant pour faire face à mon adversaire. «nuska, cache toi!» Au diable les politesses ! Je venais de recevoir deux nouveaux coups. Mon corps commençait à ressembler à une passoire. Génial non ? Les dents serrer je levais mon arme pour massacrer le corps de la nouvelle venue. Elle fut beaucoup moins coriace que la précédente.

Ou est la troisième ? Je regardais ma maîtresse tout en me rappelant que Missy allait être la suivant. Ma mort approchait à grand pas. Un nouveau grognement sorti de ma bouche. Comme je n'aimais pas cette idée. Arrivée près de la Tsarine, elle me prit la main pour me dire silencieusement de suivre le plan. Ça me tuais de devoir me soumettre à une personne !! Mais j'allais obéir.

Petit Padawan Nombre de messages : 30 Date d'inscription : 19/12/2012

The Whole World Is A Killing Field part. 1 Ava_mi10

Comme un certain Dimitri, j'arrivais en tenue de combat noire intégrale avec les bottes, gilet tactique, cagoule noire et casque de combat avec caméra montée, gilet pare-balles et plusieurs armes dont un MP5, un Mark 23 avec silencieux, un Five-seveN et quelques couteaux de combats. De quoi blesser un peu plus Mikhaila, l'amour de ma vie et un amour secret. J'arrivais sur les lieux, les deux " cadavres " des deux autres assassins en vue. Asya était morte d'une balle dans le coeur et de deux balles dans le ventre. Tasha, deux balles dans la tête. Et je vis Mikhaila.

" Hey toi, sale pute ! Tu viens de buter deux de mes copines et tu crois t'en sortir comme ca ? Je vais te faire saigner comme la cochonne que tu es ! Viens te battre ! "

Je m'approchais d'elle. Au début un combat à mains nues. Mais elle le savait, que je la trahirais. Enfin que je ne respecterais pas les règles du combat. Que je la poignarderais.

Invité

«Pute ?» Je levais la tête en direction de la jeune femme que je connaissais que trop bien. Missy venait d'arriver et je devais l'affronter. Tout en me redressant, un petit sourire remplit de malice s'affichait sur mon visage. « Alors approche.» Je ne voulais pas la laisser gagner aussi facilement. J'échangeais quelque coups avec elle tout en essayant de me concentré. Me battre avec une femme n'a jamais été mon fort. C'est pire avec la femme qui fait battre mon corps. Même si je ne pouvais pas voir son visage, j'étais absorbée par le bleue de son regard. Un coups que je n'avais vu venir m’atteins dans les cotes.

Après le coup, je reculais de quelques pas tout en appuyant par réflexe sur la plaie.... Je n'avais qu'un arme modifier, je ne pouvais pas me servir du couteau réelle que j'avais toujours dans ma botte. « Charmant.» Je serrais la mâchoire tout en allant l'attaquer de plus belle, enragée comme seule moi arrivait à l'être. Je la fis tomber sur le dos et pour plus de réaliste, j'appuyais sur sa gorge avec mon pied gauche. « Si faible ? »

Petit Padawan Nombre de messages : 30 Date d'inscription : 19/12/2012

Les problèmes arrivèrent dès qu'elle me fit tomber et qu'elle posait son pied sur ma gorge. J'essayais d'ôter son pied de ma gorge car je n'avais du mal à respirer sans succès. Alors je sortis mon couteau et la poignarda dans la jambe. Je me dégageais et me releva, lui faisant face une nouvelle fois.

" Pour une fille gravement blessée, tu te bats bien beauté. Dommage qu'il te faille rejoindre le monde des morts bientôt. Dommage "

Je retournais au corps au corps avec elle, me battant et pour plus de réalisme je lui mis une droite dans la mâchoire. Puis je la fis tomber sur le dos elle aussi et en la poussant, je tombais juste pour avoir la tête entre ses seins. Ce n'était pas désagréable bien au contraire, mais je dus me relever et elle aussi avec plus de mal car elle se souvenait de ses blessures. J'avais toujours le couteau dans ma main et retourna au corps à corps pour la poignarder deux fois dans les côtes. Mikhaila se mit à genoux devant moi et par sadisme, je mis le doigt dans sa blessure, celle sous son sein droit.

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C'était quoi cette nouvelle technique de combat ? La savoir entre mes seins en ce moment réussit à me déboussoler juste assez pour que je puisse oublier qu'elle était mon ennemie. Pourquoi avoir mit Missy sur ma route ? Je ne serai pas capable d'être réaliste ! Je suis une mauvaise actrice et c'est un secret pour personne. Je me retrouvais soumise. Enragée, je me redressais pour lui offrit quelques coups tout en me rappelant que je devais être blesser. Suivant cette logique et avec les deux coups qu'elle m'avait offert dans les cotes, je ne pouvais faire autrement que me trouver à genoux devant elle. Ses doigts touchèrent ma peau à un endroit qui devait être douloureux. Je ne hurle pas ma douleur, je me contente de serrer à mâchoire en respirant avec beaucoup plus de difficulté.

J'allais mourir et je devais me laisser faire. Finalement, j'étais plutôt ravis de savoir que c'était Missy et non Dimitri qui me force à me soumettre. Je n'aurai pas été capable de me laisser faire par cet homme. Je regardais la femme tout en cherchant mes mots. « Me tuer maintenant serai un réel gâchis.» Ouais, je devais supplier... Vous ai-je dit que je n'étais pas une très bonne actrice ?

Petit Padawan Nombre de messages : 30 Date d'inscription : 19/12/2012

Après l'avoir mise à genoux devant moi et qu’elle m’aie dit que ce serait un beau gâchis de la tuer, je caressais ses lèvres d'une main pendant que de l'autre je pointais son sein gauche avec ma lame. Puis je rangeais mon couteau et glissa ma main à l'intérieur de son débardeur qui se faufila jusqu'à ce sein gauche que je caressais, que je malaxais. Je l'embrassais sur le front avant de retirer ma main de son débardeur pour reprendre mon couteau et le planter dans son ventre à mi-lame. Je la poussais au sol pour qu'elle tombe sur le dos. Je m'agenouillais à ses côtés pour retirer la lame dans son ventre et découpa son débardeur pour dévoiler ses sous-vêtements et je plantais ma lame dans son nombril jusqu’à la garde. Puis je fis déboutonner son jean et le fis descendre jusqu'à ses genoux. Alors je me relevais, pris mon mp5 qui était en bandoulière autour de moi et passa l'arme en semi-automatique avant de filmer avec le casque Mikhaila et son corps meurtri.

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Ce geste était certainement eut mieux sa place dans une chambre à coucher où j'aurai pu m'occuper de son corps comme il se doit, mais malheureusement cette caresse n'avait rien d'érotique même si le bout de mon sein avait durcis à son contact. Je la regardais sans jamais la quitter des yeux, essayant de l'arrêté au moment ou elle enfonçait la lame dans mon corps pour la première fois. J'allais mourir sous la douce main de Missy. Je voulais me redresser, mais elle me plaquait au sol pour m'enlever mon haut et une partie de mon pantalon. Pourquoi tant de nudité ? Je n'ai jamais comprit le sens dramatique de ce genre d'attention. Lorsque j'enlève la vie je le fais rapidement et proprement, mais il faut dire aussi que je ne suis pas un assassin.

«Laisse moi la vie....» Puis je hoquetais sous le coups donner à mon nombril. Un rire nerveux quittait mes lèvres lorsque je me dis que je la baiserais bien une fois avant de mourir... Heureusement une fois dans l'ombre j'aurai beaucoup plus de liberté. Je levais ma main pour la poser sur la sienne, je la serrais fort tout en essayant d'avoir l'aire de lui résisté. Logiquement, la perte de sang importante devait me faire tournée la tête au moment ou je vous parle.

Petit Padawan Nombre de messages : 30 Date d'inscription : 19/12/2012

Mikhaila me posa sa main sur la mienne. Ce que je venais de faire aurait eu plus de place dans une chambre, nous deux toutes seules et ensemble. Mais la nudité ajoutait un certain malaise. En fait le faire lentement, en déshabillant sa victime, en prenant le temps de la tuer avait quelque chose de malsain. Et je voulais que les gens qui verraient cette vidéo, ce film, soient choqués, dérangés et que le mal-être s'installe. Qu'il puisse trôner dans leurs coeurs longtemps. A vrai dire même moi cela me choquait. Le pire était de "tuer " la personne que j'aimais le plus au monde. Et si je devais la tuer vraiment, je n'y survivrais pas.

Je pointais le MP5 en mode semi-auto sur son vagin et tira deux fois. Deux trous apparurent entre ses jambes, un endroit que je filmais tandis que je voyais le faux sang pisser. Puis je lui mis deux balles dans le ventre et finalement une balle dans chacun de ses seins, dans chaque téton. Je ne dégrafais pas son soutien-gorge, mais fit sortir ses seins de son soutien-gorge. Les blessures avaient l'air réelles, j'avais l'impression que ma pauvre Mikhaila n'avait plus de tétons. Et je passais mon arme en automatique tandis que je la voyais qui agonisait.

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Même si ce n'était que du maquillage, j'avais mal partout. Je laissais Missy faire de moi sa victime, je lui souriais presque. Au bout d'un moment, je croquais dans la capsule de sang que j'avais de dissimulé entre ma joue et gencive. Il était temps pour moi de cracher ce sang et de mourir. Ma respiration se faisait de plus en plus lente et saccader. Je tournais la tête pour regarder dans la direction de ma maîtresse qui me regardait en pleurant. Je lui fis un petit sourire pour lui dire que tout allait bien aller. Certain pourrait comprendre que je lui disais au revoir avant de sombré dans l'autre monde. Même si c'était faux, j'avais faillis à ma tâche et cette idée me déplaisait.

» The World Is A Killing Field ( Feat. Anya Voystroya )